Presse

La presse suit depuis quelques années l’évolution de cette pianiste engagée aux doigts d’or et à la technique irréprochable (LexNews), dont la sensibilité n’a d’égale que la maîtrise (Télérama) et incarnant l’Électron libre de la relève pianistique française selon les Échos.

  • 2017

    Le Progrès

    Le Progrès

    « C’était un nouvel événement délocalisé dans le cadre de l’Estival de la Bâtie. Mardi, les deux musiciennes Elsa Moatti (violon) et Célia Oneto Bensaid (piano) ont fait une halte au prieuré de Pommiers, un lieu chargé d’histoire(s), aussi bien atypique que pittoresque. Les pierres étaient parées de leurs habits de lumière pour ce duo talentueux qui a offert une atmosphère mélancolique, poétique (parfois sombre) et intime. »

  • Août 2017

    Zibeline

    Zibeline – Jacques Freschel

    « Le trio Märchen (Bertrand Laude, clarinette, Manuel Vioque-Judde, alto, Célia Oneto Bensaid, piano) présentait une formation sortant du traditionnel violon/violoncelle/piano. Fort de personnalités artistiques à l’aura évidente, c’est l’ensemble musical qui aura le plus marqué les esprits avec des Pièces pour alto, clarinette et piano op.83 de Max Bruch : clarinette d’une rare sensibilité, alto princier (à l’avenir assuré !) et du beau piano garantissant le ciment nécessaire à ces timbres riches et complémentaires. »

  • Novembre 2018

    Revue ENA Hors les murs

    Revue ENA Hors les murs

    « Après I got rythm du pianiste David Lively, Célia Oneto Bensaid décide, elle aussi, de mettre à l’honneur deux grands compositeurs américains. En effet, pour son premier enregistrement, cette jeune pianiste, dotée d’un palmarès éloquent, nous propose des œuvres de Léonard Bernstein (1918-1990) et de George Gershwin (1898-1937). Cela étant, si elle interprète des pièces écrites pour le piano, elle n’hésitez pas non plus, à travers des transcriptions, à nous transporter dans l’univers de West Side Story ou An American in Paris. La gageure est de taille, tant ces œuvres combinent couleurs orchestrales et puissance des percussions.

    Ainsi, les Danses symphoniques de West Side Story nous font-elles revivre, pour notre plus grand plaisir, quelques grands thèmes de la comédie musicale. Du Prologue au Final, ce ne sont pas moins de neuf moments musicaux qui déclinent les différents sentiments de l’œuvre originale. Avec ses ruptures, son air dégingandé, ses contrastes et son accompagnement en pompes, cette transcription du Prologue met particulièrement l’accent sur son influence du ragtime. Quant aux appels du sifflet et claquements de doigts, qui pourraient passer pour anecdotiques, ils créent autant la surprise que la restitution de la vie trépidante qui parcourt l’œuvre de Bernstein. Dans la même veine, le débridé Mambo est émaillé de “Mambo” clamé avec énergie par Célia Oneto Bensaid, affermissant les arrêts de piano. Par ailleurs, le Cha-cha introduit sur la pointe des pieds le thème de Maria avant de s’effacer devant un piano égrenant ses note avec délicatesse. Moment atemporel que celui-ci, rempli de la grâce d’harmonies subtiles et raffinées ! Enfin, Somewhere décline un piano symphonique déployant la soierie de ses arpèges. Ici, l’interprète joue sur de multiples plans sonores avec une surprenante fluidité.

    Symphonique est également l’œuvre de Gershwin An American in Paris. A cet égard, legato et pédale donnent l’illusion d’entendre des cordes. L’éclat des cuivres est obtenu par un staccato d’une précision remarquable. L’ensemble est mâtiné de rubato et d’un indicible “swing” qui irradie tout le discours musical avec sensibilité et majesté ? Par ailleurs, Célia Oneto Bensaid joue magistralement sur la ligne de crête entre musique des “tapeurs” de piano des saloons et l’élégance raffinée des virtuoses de salon ? Au demeurant, comme une métaphore de cette double ascendance entre musique savante et populaire, notre talentueuse pianiste inclut dans son programme Trois préludes de Gershwin et Touches de Bernstein, ensemble de pièces dont le langage élaboré n’est pas sans rappeler er Debussy ou Ravel. C’est sans doute cela l’American touches ! »

  • Janvier 2023

    Ce qu’on entend dans l’enfer, le purgatoire, le paradis

    Diapason – Bertrand Boissard

    « Qui veut entendre les dix-huit pièces du cycle se tournera vers cette nouvelle version [...] »

  • Février 2023

    Ce qu’on entend dans l’enfer, le purgatoire, le paradis

    Pianiste - Alain Cochard

    « [...] l'une des plus découvreuses interprètes françaises d'aujourd'hui s'empare avec un sens des timbres et une force suggestive qui magnifient le formidable processus de transmutation a l'œuvre au cours des dix-huit pièces de Ce que l'on entend... [...] »

  • Juillet 2023

    Célia Oneto Bensaid, pianiste et féministe

    La Provence

    « [...] Célia Oneto Bensaid s'est révélée virtuose et sensible dans ses interprétations et nous a fait découvrir des compositrices qu'on a fait passer pour des muses ou des pédagogues en gommmant leur créativité. [...] »

  • Avril 2024

    L'Orchestre National remet en lumière Liszt et Jaëll

    La Provence

    « [...] Nul doute que le nouvel enregistrement “Sparklight” obtiendra un aussi grand succès, tant le choix du programme est pertinent et les interprétations de l'orchestre comme de la pianiste Célia Oneto Bensaid sont particulièrement sublimes. [...] »