« [...] elle est un orchestre à elle seule »
Presse
La presse suit depuis quelques années l’évolution de cette pianiste engagée aux doigts d’or et à la technique irréprochable (LexNews), dont la sensibilité n’a d’égale que la maîtrise (Télérama) et incarnant l’Électron libre de la relève pianistique française selon les Échos.
- Février 2016
La “Folle Journée 2016”, 3e jour: des nuits d'Espagne aux roses d'Ispahan
Culture Box – France Télévisionslire l'article - 2017
Le Progrès
Le Progrès« C’était un nouvel événement délocalisé dans le cadre de l’Estival de la Bâtie. Mardi, les deux musiciennes Elsa Moatti (violon) et Célia Oneto Bensaid (piano) ont fait une halte au prieuré de Pommiers, un lieu chargé d’histoire(s), aussi bien atypique que pittoresque. Les pierres étaient parées de leurs habits de lumière pour ce duo talentueux qui a offert une atmosphère mélancolique, poétique (parfois sombre) et intime. »
- Août 2017
Zibeline
Zibeline – Jacques Freschel« Le trio Märchen (Bertrand Laude, clarinette, Manuel Vioque-Judde, alto, Célia Oneto Bensaid, piano) présentait une formation sortant du traditionnel violon/violoncelle/piano. Fort de personnalités artistiques à l’aura évidente, c’est l’ensemble musical qui aura le plus marqué les esprits avec des Pièces pour alto, clarinette et piano op.83 de Max Bruch : clarinette d’une rare sensibilité, alto princier (à l’avenir assuré !) et du beau piano garantissant le ciment nécessaire à ces timbres riches et complémentaires. »
- Novembre 2017
Music-hall et musica da camera ne font qu’un Salle Cortot !
Bachtrack – Julien Hancklire l'article« Célia Oneto Bensaid tire habilement son épingle du jeu dans le Quintette. Endurance et contrôle sont le maître mot de sa performance. La jeune pianiste n’hésite pas à faire ressortir quelques tranchantes arêtes hors de ses phrasés, tout en faisant preuve d’une homogénéité stylistique remarquable. »
- Août 2018
Une formation originale
ConcertoNet – Simon Corleylire l'article« Après le bref entracte, c’est précisément Bernstein compositeur que l’on retrouve, avec l’Ouverture de son Candide (1956) transcrite de manière assez bluffante par Célia Oneto Bensaid. »
- Septembre 2018
Célia Oneto Bensaid
Mediapart – Frederick Casadesuslire l'article« Aux mélomanes de France, de Navarre et de l’univers, on ne peut faire autrement que recommander American touches, un disque rudement chouette, alliant Gershwin et Bernstein, une belle réussite parue sur le label Soupir éditions. Qu’on se le dise, mademoiselle Oneto Bensaid est à l’aube d’un très joli parcours. »
- Septembre 2018
À Paris, les Nuits du Piano perpétuent l'art du récital
Le Figaro – Benjamin Puechlire l'article« Célia Oneto-Bensaïd interprète d’électrisantes pièces de West Side Story transcrites par ses soins. Et nous convainc qu’il y a bien quelque chose de sacré qui se transmet dans la musique classique. Le public se laisse emporté par les airs du Manhattan voyou des années 1960 composés par Leonard Bernstein. Une mère étouffe le cri de son fils, bien décidé à témoigner, lui aussi, de son enthousiasme. Qu’importe, la soirée est chaleureuse. »
- Novembre 2018
Revue ENA Hors les murs
Revue ENA Hors les murs« Après I got rythm du pianiste David Lively, Célia Oneto Bensaid décide, elle aussi, de mettre à l’honneur deux grands compositeurs américains. En effet, pour son premier enregistrement, cette jeune pianiste, dotée d’un palmarès éloquent, nous propose des œuvres de Léonard Bernstein (1918-1990) et de George Gershwin (1898-1937). Cela étant, si elle interprète des pièces écrites pour le piano, elle n’hésitez pas non plus, à travers des transcriptions, à nous transporter dans l’univers de West Side Story ou An American in Paris. La gageure est de taille, tant ces œuvres combinent couleurs orchestrales et puissance des percussions.
Ainsi, les Danses symphoniques de West Side Story nous font-elles revivre, pour notre plus grand plaisir, quelques grands thèmes de la comédie musicale. Du Prologue au Final, ce ne sont pas moins de neuf moments musicaux qui déclinent les différents sentiments de l’œuvre originale. Avec ses ruptures, son air dégingandé, ses contrastes et son accompagnement en pompes, cette transcription du Prologue met particulièrement l’accent sur son influence du ragtime. Quant aux appels du sifflet et claquements de doigts, qui pourraient passer pour anecdotiques, ils créent autant la surprise que la restitution de la vie trépidante qui parcourt l’œuvre de Bernstein. Dans la même veine, le débridé Mambo est émaillé de “Mambo” clamé avec énergie par Célia Oneto Bensaid, affermissant les arrêts de piano. Par ailleurs, le Cha-cha introduit sur la pointe des pieds le thème de Maria avant de s’effacer devant un piano égrenant ses note avec délicatesse. Moment atemporel que celui-ci, rempli de la grâce d’harmonies subtiles et raffinées ! Enfin, Somewhere décline un piano symphonique déployant la soierie de ses arpèges. Ici, l’interprète joue sur de multiples plans sonores avec une surprenante fluidité.
Symphonique est également l’œuvre de Gershwin An American in Paris. A cet égard, legato et pédale donnent l’illusion d’entendre des cordes. L’éclat des cuivres est obtenu par un staccato d’une précision remarquable. L’ensemble est mâtiné de rubato et d’un indicible “swing” qui irradie tout le discours musical avec sensibilité et majesté ? Par ailleurs, Célia Oneto Bensaid joue magistralement sur la ligne de crête entre musique des “tapeurs” de piano des saloons et l’élégance raffinée des virtuoses de salon ? Au demeurant, comme une métaphore de cette double ascendance entre musique savante et populaire, notre talentueuse pianiste inclut dans son programme Trois préludes de Gershwin et Touches de Bernstein, ensemble de pièces dont le langage élaboré n’est pas sans rappeler er Debussy ou Ravel. C’est sans doute cela l’American touches ! » - Novembre 2018
Les grands oncles d’Amérique de Célia Oneto Bensaid
Classicagenda – Frederic Hutmanlire l'article« Les grands oncles d’Amérique de Célia Oneto Bensaid. »
- Novembre 2018
CD : « American touches », le piano de Gershwin et de Bernstein
On Mag – Jean Pierre Robertlire l'article« Celia Oneto Bensaid joue ces pièces avec autant de conviction et de zest qu’elle se meut dans l’art de la transcription »
- Avril 2019
Cœur brûlant, tête froide : Célia Oneto Bensaid à la Halle au Blé
Bachtrack – Jean Landraslire l'article« “Cœur brûlant, tête froide” aimait dire le pianiste Heinrich Neuhaus. Voilà une maxime que l’artiste du soir pourrait faire sienne. Bénéficiant de la bonne sonorité du lieu et de l’instrument, Célia Oneto-Bensaid a révélé son double talent : audacieuse créatrice de chatoyantes transcriptions pour piano d’œuvres d’essence profondément orchestrale et interprète à l’expressivité étonnante. »
- Août 2019
Célia Oneto Bensaid et Arcadi Volodos au Festival de la Roque d’Anthéron 2019 – Touches américaines et toucher de l’extrême – Compte-rendu
Concertclassic – Gaëlle Le Danteclire l'article« Célia Oneto Bensaid lance audacieusement ses « American Touches », programme américain (Gershwin/Bernstein) d’un premier enregistrement remarqué sorti l’automne dernier […] les transcriptions forcent l’admiration – et Célia Oneto Bensaid y met visiblement beaucoup d’elle-même […] Les Trois Préludes de Gershwin sont des miniatures sensibles qu’elle a magnifiquement défendues, tout comme Touches de Bernstein, qui a inspiré le titre de son album et de son concert. »
- Février 2020
« Se prendre au jeu de l'écriture », au piano de Célia Oneto Bensaid
Bachtrack – Jean Landraslire l'article« Passionnée par le répertoire classique mais aussi par la création, par les musiques tant européennes qu’américaines, Célia Oneto Bensaid fait partie des jeunes pianistes dont la carrière est en plein essor. Titulaire de cinq prix du Conservatoire de Paris (CNSMDP), elle est lauréate de nombreux concours et de plusieurs fondations (Concours internationaux Francis Poulenc 2013, Gabriel Fauré 2014, Piano Campus 2015, Société des Arts de Genève 2017…). Elle se distingue notamment dans l’art de la mélodie, remportant en 2018 le Concours Nadia et Lili Boulanger avec la soprano Marie-Laure Garnier. Le duo prépare une tournée en Chine en avril… Mais en attendant, c’est près des Halles, à Paris, que je retrouve Célia autour d’une table de brasserie. Elle revient calmement sur les étapes de sa carrière et communique avec enthousiasme ses passions et ses projets."
- Juin 2020
Marie-Laure Garnier et Célia Oneto Bensaid à l’église Saint-Marcel – Heureuses retrouvailles – Compte-rendu
Concertclassic – Alain Cochardlire l'article« On se laisse prendre par l’agissante immobilité de Metamorphosis 2 au cours de laquelle la palette sonore très subtile de la pianiste fait merveille. Avec Number 1 de Camille Pépin – pièce récente (2020) qui marque le commencement d’un cycle de la compositrice française en hommage à Jackson Pollock – les teintes se font autrement plus vives, le relief s’accentue et Célia Oneto Bensaid suggère le jaillissement de la couleur avec une parfaite acuité rythmique. »
- Juillet 2020
Cinq talents du classique sur les routes
Le Figaro – Thierry Hillériteaulire l'article« Difficile de ne pas se laisser séduire par la palette ensoleillée de cette jeune pianiste, aussi enthousiaste dans son jeu que dans son approche de tous les répertoires. [...]»
- Août 2020
La Roque d’Anthéron : pépinière de jeunes talents
Crescendo Magazine – Victoria Tomoko Okadalire l'articleLe dimanche 10 août au matin, Célia Oneto Bensaid donne un récital tout Philip Glass ’elle qualifie elle-même d’« OVNI » pour ce Festival. Elle l’a intitulé « Temps suspendu » et invite l’auditoire à se laisser aller par un temps qui ne se mesure pas selon nos critères quotidiens. Elle insère les cinq Metamorphosis d’après Kafka entre les trois mouvements de Trilogy Sonata. Ces musiques hypnotisantes, avec lesquelles la pianiste nous plonge dans l’infini -même si une pièce ne dure que cinq minutes, cela pourrait continuer pour l’éternité !- font même taire les cigales, d’habitude très bruyantes. Elle joue quatre bis. D’abord Der Zauberlehrling (L’apprenti sorcier) de Ligeti dans le prolongement du programme, puis Maple Leaf Rag de Joplin (elle prend le micro pour expliquer l’origine du Cake-walk), Number One, la première œuvre pour piano solo de Camille Pépin (née en 1990) et La Tartine au beurre de Mozart. Voilà une matinée originale et « suspendue », dont le public était ravi. »
- Août 2020
Une journée à La Roque-d’Anthéron
La Croix – Emmanuelle Giulianilire l'article« Lors de son récital consacré à l’Américain Philip Glass opportunément appelé Le Temps Suspendu, la gracieuse Célia Oneto Bensaid a joué les douces enchanteresses, faisant subitement émerger la tension musicale d’un lit de roses."
- Août 2020
Interview VIVANT ! Célia Oneto Bensaid pianiste
Ouvert aux Publics – Marie Anezinlire l'article« La pianiste Célia Oneto Bensaid a apporté une fraîcheur printanière teintée de charme mutin au soleil de plomb qui s’imposait au concert de 10h du Festival International de piano de la Roque d’Anthéron. Elle y a imposé avec maestria et alacrité le seul compositeur contemporain de cette 40ème édition : Philip Glass. Connu pour avoir apporté son génie à tant de musiques de films, de théâtre ou de pop stars comme Bowie, il reste l’ambassadeur d’une musique répétitive et minimaliste ponctuée de micro-variations. Une rigueur et une audace que le compositeur américain partage avec son interprète du jour Célia Oneto Bensaid. Un concert sublime tout en mélodie, douceur, impertinences qui fut un somptueux cadeau. Célia Oneto Bensaid a choisi un programme lié au théatre avec Metamorphosis, écrit en référence à Kafka et la Trilogy sonata de Glass/Barnes dont le premier opus fut présenté au Festival d’Avignon par Bob Wilson.Intitulé « Le Temps suspendu » ce choix de pièces de Glass évoque l’espace-temps parallèle dans lequel Glass nous propulse et le confinement dont nous sortons. Un concert qui illustre l’engagement obstiné de cette jeune artiste à faire de la musique dans son époque et au cœur de son actualité. Elle défend aussi avec ferveur la place des femmes dans le milieu de la musique classique. »
- Septembre 2020
L’édition limitée du 73e Festival de Besançon
Resmusica – Jean-Luc Clairetlire l'article« Loin du traditionnel concert de clôture symphonique, le festival se clôt par un récital de piano. Camille Pépin introduit Célia Oneto Bensaid, une pianiste à l’engagement d’emblée attachant, qui a conçu un programme De Ravel à Pépin. Le chemin passe par Glass (on l’avait remarqué la veille dans The Road not taken), Pépin s’inscrivant dans cette nouvelle génération de compositeurs décidés à travailler en-dehors de toute doxa. La pianiste invite Glass en veilleur, ses cinq Métamorphosis (la bouleversante simplicité mélodique de la deuxième fait toujours mouche) venant ponctuer, comme des oasis sonores, les deux Pépin (Number 1, inspiré par Pollock et Nighthawks, transcrit de la harpe, d’après Hooper) et les cinq Miroirs de Ravel. Ces Metamorphosis de 1988, une découverte pour beaucoup, sont ourlés, face à une salle qui retient son souffle, avec une liberté et un sens de la nuance inédit qui les exclut presque de la période « répétitive » du compositeur. Ravel, Pépin, Glass : les filiations sont clairement soulignées par le jeu virtuose et limpide, sans histoire, magnifié par un piano aux aigus cristallins. Le compositeur américain ouvre et referme un concert qui conclurait le festival dans un impressionnant silence, n’étaient trois bis américains ahurissants de virtuosité : Joplin, Bernstein et Glass encore, avec l’étourdissante Dance du deuxième Acte d’Akhnaten. »
- Octobre 2020
Les Mille et une vies
Pianiste – Alain Cochardlire l'article« Rythmé et coloré, son premier disque autour de Gershwin et Bernstein a mis en lumière le talent d’une interprète découvreuse et passionnée, à l’aise en solo, en mélodie comme en musique de chambre. »
Interview par Alain Cochard dans le magazine Pianiste de septembre-octobre 2020. - Mai 2021
Célia Oneto Bensaid : Travailler avec une compositrice vivante est un privilège
La Matinale de France MusiqueécouterCélia Oneto Bensaid est l'invitée de Jean-Baptiste Urbain pour la matinale de France Musique, au sujet de son album "Metamorphosis".
- Juin 2021
La pianiste Célia Oneto Bensaid redonne vie aux compositrices oubliées par l'Histoire
Affaire à suivre – France CultureécouterLa pianiste Célia Oneto Bensaid redonne vie aux compositrices oubliées par l’Histoire.
Entretien avec Arnaud Laporte. - Février 2022
La soprano Marie-Laure Garnier, entre mélodies françaises et negro spirituals
Le Monde – Marie-Aude Rouxlire l'article« L’extatique et sensuel Collier, de Messiaen, véritable hymne à l’amour, sera pacifié par les tendres Anges musiciens de Poulenc, […] le tragique He Never Said a Mumblin’ Word, que Moses Hogan a habillé d’une aura opératique, confiant une longue introduction au piano sororal de Célia Oneto Bensaid. Plus légère et apaisée, la dernière partie consacrera la belle entente décennale des partenaires : un Messiaen de toute beauté (Prière exaucée), auquel répondra un Weepin’ Mary aux accents« poulenquiens ». Les deux artistes mettront définitivement la salle dans leur poche, après un dernier Wade in the Water aux confins de la vocalité noire, avec le savoureux Amor, de William Bolcom, histoire de fêter la Saint-Valentin. »
- Mars 2022
Songs of hope, le premier album de Marie-Laure Garnier et Célia Oneto Bensaid
Radio Classique – Laure MézanécouterA l’occasion de la publication de leur album Songs of hope, Marie-Laure Garnier et Célia Oneto Bensaid sont les invitées du Journal du Classique.
- Avril 2022
Spirituals, Francis Poulenc, Olivier Messiaen - Songs of Hope
Télérama – Sophie Bourdaislire l'article« [...] Marie-Laure Garnier et Célia Oneto Bensaid se sont rencontrées en 2011 au-tour de la mélodie française, et n'ont cessé, depuis, de creuser ensemble les possibilités offertes par l'alliance du piano et de la voix. Dans les spirituals, la pianiste imprime l'ambiance du morceau, espiègle ou dramatique, et déroule le tapis ou pourra s'élancer la voix puissante, chaude et caressante de la soprano. Chez Messiaen, le piano fragmente son discours, et le chant aussi, qui oscille entre vocalises et psalmodie. Les miniatures de Poulenc, enfin, réclament chacune un équilibre particulier. Virtuoses, les musiciennes adaptent leurs instruments au caractère des pièces jouées. Et n'oublient jamais de s'écouter. »
- Avril 2022
Un jour, une voix
Téléramavoir la vidéo« La chanteuse lyrique Marie-Laure Garnier, accompagnée de la pianiste Célia Oneto Bensaid, nous propose d’embarquer à bord du “Gospel Train”, un train sans première ni seconde classes à destination d’un monde accessible à tous. »
- Novembre 2022
Sélection albums : Hector Berlioz, Marie Jaëll, Nas, Stuffed Foxes, Mario Lucio
Le Mondelire l'article« De l'Enfer très lisztien au Paradis paré de la fraîcheur de Schumann ou d'un Grieg, la jeune Célia Oneto Bensaid défend magnifiquement la cause de Marie Jaëll [...] »
- Décembre 2022
La jeune pianiste Célia Oneto Bensaïd consacre son troisième enregistrement solo à la compositrice Marie Jaëll
France Inter – Classic & CoécouterLa jeune pianiste Célia Oneto Bensaid consacre son troisième enregistrement solo à la compositrice Marie Jaëll, précisément à son cycle de “18 Pièces pour piano d’après la lecture de Dante”. Un album qui inaugure un nouveau label intitulé “Présence compositrices”.
- Janvier 2023
Chanson perpétuelle à l'Opéra Grand Avignon
Olyrix – Moisés Ordóñez Alarcónlire l'article« Les mains de la pianiste s’allient aux archets dans un son homogène, précis, empli de contrastes et de reliefs quand la partition l’exige : un déploiement de ferveur et de virtuosité qui récompense une écoute attentive à cette richesse. »
- Janvier 2023
La Matinale avec Marie-Laure Garnier et Célia Oneto Bensaid
France Interécouter« Les mains de la pianiste s’allient aux archets dans un son homogène, précis, empli de contrastes et de reliefs quand la partition l’exige : un déploiement de ferveur et de virtuosité qui récompense une écoute attentive à cette richesse. »
- Janvier 2023
Marie-Laure Garnier et ses complices chambristes à l’Opéra d’Avignon
Première Loge – Sabine Teulon Lardiclire l'article« Croire en la puissance expressive de la musique de chambre romantique française… Les jeunes interprètes … le démontrent avec fougue ou subtilité sur le plateau de l’Opéra Grand Avignon. …Les six interprètes sont récompensés par un LONG silence de l’auditoire, état de grâce avant les applaudissements. Voici donc d’authentiques ambassadeurs de la mélodie française. Ambassadeurs généreux puisque leur bis nous gratifie d’une mélodie enjouée, issue de La Bonne chanson de Gabriel Fauré – L’hiver a cessé. »
- Janvier 2023
Célia Oneto Bensaid et la traversée dantesque de Marie Jaëll
Crescendo Magazine – Jean Lacroixlire l'article« A la manière d’une grande fresque qui se révèle inspirée et souvent exaltante, c’est bien à une “traversée dantesque” que nous invite la virtuose, qui fait de pages aux accents obsessionnels comme Appel, ou lucifériens comme Sabbat, des moments ardents, révélateurs d’un Enfer menaçant, avec le thème du Dies irae en permanence. Le Purgatoire, entre Pressentiments, Alanguissements ou Obsession, laisse deviner le combat poétique intérieur, quasi philosophique, que la créativité de Marie Jaëll livre à travers une technique éblouissante qui lance souvent des cris vers la lumière. Celle-ci sera pleinement présente au Paradis, dans l’Apaisement, la Quiétude ou la Contemplation extatique conclusive. Ici, l’introspection dominera, avec une tendance à la douceur, voire à l’épanchement, qui touche l’auditeur au plus profond de lui-même. […] Cet album remarquable, enregistré en mars 2021, bénéficie de l’investissement fervent et généreux de Célia Oneto Bensaid. Il inaugure avec éclat un catalogue prometteur. On attend avec impatience de futures publications qui ouvriront la porte à d’autres horizons féminins, aussi riches et aussi passionnants. »
- Janvier 2023
Ce qu’on entend dans l’enfer, le purgatoire, le paradis
Télérama – Sophie Bourdaislire l'article« Célia Oneto Bensaid, dont la sensibilité n'a d'égale que la maîtrise technique ... »
4 T dans Télérama pour l'album Marie Jaëll – Ce qu'on entend dans l'Enfer, le Purgatoire, le Paradis. - Janvier 2023
Ce qu’on entend dans l’enfer, le purgatoire, le paradis
Diapason – Bertrand Boissard« Qui veut entendre les dix-huit pièces du cycle se tournera vers cette nouvelle version [...] »
- Février 2023
Ce qu’on entend dans l’enfer, le purgatoire, le paradis
Pianiste - Alain Cochard« [...] l'une des plus découvreuses interprètes françaises d'aujourd'hui s'empare avec un sens des timbres et une force suggestive qui magnifient le formidable processus de transmutation a l'œuvre au cours des dix-huit pièces de Ce que l'on entend... [...] »
- Février 2023
Ce qu’on entend dans l’enfer, le purgatoire, le paradis
TV5 Mondevoir la vidéoLa musicienne Célia Oneto Bensaid consacre son nouvel album à la compositrice Marie Jaëll. Il a pour titre "Ce qu'on entend dans l'enfer, le purgatoire, le paradis".
- Février 2023
Celia Oneto Bensaid et Marie Jaëll, pianistes en fusion !
Classique c'est cool – Hugues Rameau-Crayslire l'article« [...] Après un CD accueilli avec les éloges, la jeune pianiste de 30 ans confirme ses affinités avec un répertoire qu’elle incarne. Dans l’écrin de la salle Cortot à Paris, elle a composé un programme exigeant et pourtant enthousiasmant qui a séduit à la fois les mélomanes et les plus néophytes des spectateurs. »
- Juillet 2023
À La Roque-d’Anthéron, la pianiste Célia Oneto Bensaid entame son bel été
La Croix – Emmanuelle Giulianilire l'article« [...] "En quête de progmmmes qui « ont du sens » et qu'elle tient à présenter aux auditeurs en quelques mots, Célia Oneto Bensaid veut mettre toutes les chances du côté du concert classique. On peut compter sur elle pour le rendre « accueillant, inspirant, émotionnellement puissant ». En un mot – qui revient souvent dans sa bouche – « galvanisant ». »
- Juillet 2023
Célia Oneto Bensaid, pianiste et féministe
La Provence« [...] Célia Oneto Bensaid s'est révélée virtuose et sensible dans ses interprétations et nous a fait découvrir des compositrices qu'on a fait passer pour des muses ou des pédagogues en gommmant leur créativité. [...] »
- Janvier 2024
“Une semaine dans leur vie” part à la rencontre de la pianiste Célia Oneto Bensaid
France InterécouterDécouvrez quatre épisodes de la série "Une semaine dans leur vie" consacrés à la pianiste Célia Oneto Bensaid, diffusés sur France Inter.
- Avril 2024
Célia Oneto Bensaid joue Marie Jaëll et Franz Liszt
Radio Vinci Autoroutes - Charlotte Latourécouter« La pianiste Célia Oneto Bensaid joue aux côtés de l'Orchestre National Avignon-Provence, sous la direction de Débora Waldman, les Concertos n°1 de Marie Jaëll et Franz Liszt dans “Sparklight”, son tout premier enregistrement avec orchestre. »
- Avril 2024
Marie Jaëll Franz Liszt Sparklight • Célia Oneto Bensaid Debora Waldman
Classique c'est cool – Hugues Rameau-Crayslire l'article« [...] Il s’agit du deuxième enregistrement du concerto (sauf erreur) et l’interprétation de Célia Oneto Bensaid, plus aboutie, semble une évidence tant la pianiste fait corps avec l’univers de la compositrice. [...] »
- Avril 2024
L'Orchestre National remet en lumière Liszt et Jaëll
La Provence« [...] Nul doute que le nouvel enregistrement “Sparklight” obtiendra un aussi grand succès, tant le choix du programme est pertinent et les interprétations de l'orchestre comme de la pianiste Célia Oneto Bensaid sont particulièrement sublimes. [...] »
- Avril 2024
Marie Jaëll, lisztomaniaque inspirée
Le Figaro – Thierry Hillériteaulire l'article« [...] Deux ans après avoir gravé, pour le label Présences Compositrices, le dernier grand cycle pianistique de Jaëll, ses trois Pièces pour piano d'après une lecture de Dante, fresque épique et visionnaire, parfois, dans ses harmonies quasi debussistes, elle s'attelle au premier concerto de la compositrice alsacienne. L'œuvre d'une musicienne à peine trentenaire, tantôt ébouriffante de virtuosité, tantôt touchante de lyrisme ou de romantisme. Et que Célia Oneto Bensaid et la chef Debora Waldman, à la tête de son Orchestre national d'Avignon, n'hésitent pas à faire dialoguer avec le Concerto pour piano n°1 de... Franz Liszt! Une confrontation qui fait des étincelles, et qui rappelle la personnalité érnptive de Marie Jaëll, qui se décrivait volontiers telle « un volcan en éruption ». »
- Avril 2024
Célia Oneto Bensaid joue Marie Jaëll – L’exploratrice inspirée
Concert Classic – Alain Cochardlire l'article« Il y a deux ans, Célia Oneto Bensaid livrait un saisissant enregistrement (1CD Présence Compositrices) de Ce que l’on entend de Marie Jaëll (1846-1925), recueil tardif et prophétique d’après la Divine Comédie de Dante – et pur exemple de musique minimaliste daté de ... 1894 ! Cette fois, c’est au commencement de la carrière de la compositrice alsacienne que s’intéresse la pianiste avec le Concerto n° 1 en ré mineur, défendu avec une poigne et un feu admirables, en parfaite complicité avec Débora Waldman et l’Orchestre national Avignon Provence. [...] »
- Février 2023
Culture box l'émission – Poursuite de Marie Jaëll
Culture boxvoir la vidéoPassage dans l'émission Culture box : interview par Raphaël Yem et Daphné Bürkliplatz et interprétation de la pièce "Poursuite" de Marie Jaëll.
- Mai 2024
Sélection albums : Célia Oneto Bensaid, Ludmila Berlinskaya et Arthur Ancelle, Fred Hersch, Clarika, Caleb Landry Jones, Quintet Bumbac
Le Monde – Pierre Gervasonilire l'article« [...] Célia Oneto Bensaid y affiche une aisance impressionnante. « Suggérer une autre création à travers la sienne», tel était, selon Marie Jaëll, le but de Liszt. La jeune pianiste à la personnalité affirmée l'a teint aussi bien dans le concerto que dans une Méphisto Valse n° 3 d'anthologie.»
- Mai 2024
Marie Jaëll et Liszt par la pianiste Célia Oneto Bensaid
France Inter – Classic & CoécouterPodcast sur Marie Jaëll et Liszt par la pianiste Célia Oneto Bensaid, diffusé sur France Inter dans l'émission Classic & Co et présenté par Anna Sigalevitch.
- Mai 2024
Célia Oneto Bensaid est l’invitée du Journal du Classique
Radio Classique – Laure MézanécouterA l’occasion de la publication de son nouvel album dédié à Franz Liszt et Marie Jaëll, Célia Oneto Bensaid est l’invitée du journal du classique.
- Juin 2024
Sparklight selon Célia Oneto Bensaid et Debora Waldman
ResMusica – Florence Michellire l'article« [...] La pianiste aborde la partition avec un jeu plein, tantôt autoritaire tantôt délicat, qui se renouvelle à chaque nouvelle proposition harmonique. [...] »